» Je finis ici le parallèle qu’il me ferait aisé de pousser plus loin entre les Poètes anciens et les modernes. […] Il répond qu’il « ne connaît point de règle semblable, constamment observée dans la Comédie, soit par les anciens Poètes ou par les modernes ». […] L’ancienne Comédie l’admettait ; Aristophane en est une preuve. […] à ramener la forme et les mœurs des anciens, et à ne rien mettre sur la Scène que d’honnête et d’instructif : ce qui est la fin principale de la poésie. […] Je suppose que nos Poètes n’ont pas en vue de faire renaître l’ancien projet d’anéantir la Chambre des Pairs.