Rousseau reproche à la scène Française ; c’est l’amour décent, l’amour vertueux qu’il y attaque. […] En admirant l’amour honnête, on se livre à l’amour criminel. […] Il s’agit de l’amour que M. […] L’amour tendre y est séduisant, mais l’amour passionné y est terrible. […] Revenons à l’amour moral.