« Ce sont des Fables dont on peut tirer des moralités fort instructives capables d’inspirer aux hommes de l’amour pour la vertu et de l’horreur pour le vice. » Ce sont les propres paroles un grand homme« Nam de fabularum, etc. »Pet. […] Joue-t-on aujourd’hui une Pièce où il n’y ait quelque intrigue d’amour ? […] Ce n’est pas de ce dernier caractère que sont nos Comédies ; car bien que l’on y parle d’amour, de haine, d’ambition, de vengeance, etc. on ne le fait pas pour exciter dans les Auditeurs ces sortes de passions, et on ne les accompagne pas de circonstances assez scandaleuses pour produire infailliblement de mauvais effets dans leur cœur.