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366. (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171

Malgré toute la sagesse de leurs mesures, l’amour, inépuisable en ressources, rend les innocents plus adroits à tromper que les plus rusés ne le sont pour ne pas l’être. […] Lorsqu’on joua devant lui, en 1670, la belle piece de Britannicus, il fut frappé du portrait que fait le poëte des folies de Néron, parmi lesquelles son amour excessif pour les spectacles lui donnoit les plus grands ridicules.

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