Il veut que nous n'estimions rien tant que le don précieux qu'il nous a fait de son amour, et que nous ayons soin de l'entretenir en lui donnant de la nourriture. […] Et ainsi ils ne doivent point douter que Dieu ne les juge très coupables d'avoir fait si peu d'état de son amour, qu'au lieu de le nourrir et de tâcher de l'augmenter, ils n'aient point craint de l'éteindre par leurs vains divertissements, et qu'il ne leur impute comme un grand péché le refroidissement, ou la perte de leur charité.