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9. (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7

Vous n’avez pas considéré que ni M. d’Urfé, ni Corneille, ni Gomberville votre ancien ami n’étaient point responsables de la conduite de Desmarets. […] Sur quoi je vous ferai souvenir d’une petite histoire que m’a contée autrefois un de vos Amis. […] M. de Bagnols avertit la Mère Angélique de son erreur, et l’assura que ce Père était un fort bon Religieux, et même dans le cœur assez ami de la vérité. […] Vous nous direz que saint Jérôme a loué Rufin comme le plus savant homme de son Siècle, tant qu’il a été son ami, et qu’il traita le même Rufin comme le plus ignorant homme de son Siècle depuis qu’il se fut jeté dans le parti d’Origènep. […] [NDE] Allusion à la « Réponse du Provincial aux deux premières lettres de son ami ».

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