S’il se plaint de ce que l’ouvrage paraît sans son consentement, on le prie de considérer que le manuscrit n’était plus à lui, puisqu’il l’avait donné à un de ses amis, qu’il s’en était fait plusieurs copies ; et qu’après tout sa répugnance à le faire imprimer, devait céder à l’utilité publique.