Sénèque dit à son ami Lucile, « Tu mêleras les choses sérieuses de quelque joyeuseté, mais avec tempérance, il faut donner quelque relâche à l’esprit, de peur qu’il ne vienne à se dissoudre, ou à se fondre dans l’empressement des affaires, il le faut médiocrement relâcher pour être puis après plus vigoureux, et comme tout renouvelé pour pratiquer la vertu.