/ 309
1. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295

On ne veut plus me parler ; on se propose de ne me voir qu’au Théâtre : on renonce au projet de venir pour moi chez mon amie… Mais, cette amie, chère Adelaïde, elle mérite donc enfin ce nom ? […] Je m’engage à ne faire aucune démarche, sans l’aveu de mon bienfaiteur, de mon ami. […] — Oui ; j’étais avec elle chez votre oncle, & chez mon amie. — Ah ! […] a-t-il dit enfin d’une voix étouffée, mon Ursule, ma divinité… vous… vous… Non, je ne mérite pas… Mes transports… ô mon amie… qui l’eût pensé… ah ! […] Ma charmante amie, un bonheur constant, tel que le vôtre, peut-il se comparer à celui dont jouit votre sœur ?

/ 309