Elles ont dix-huit cents livres par an, et des étoffes pour s’habiller ; mais à Ispahan, comme à Paris, ce sont leurs moindres profits, les présents de leurs amants vont souvent dans un jour beaucoup plus haut que leurs appointements d’une année.
Elles ont dix-huit cents livres par an, et des étoffes pour s’habiller ; mais à Ispahan, comme à Paris, ce sont leurs moindres profits, les présents de leurs amants vont souvent dans un jour beaucoup plus haut que leurs appointements d’une année.