/ 218
1. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

On l'emporte ; mais le moment avant que de mourir elle baise le crucifix, embrassée de Commenge, demande qu'on l'enterre avec son amant, et termine sa détestable vie par ces trois mots dont l'union est un blasphème, en invoquant Dieu et son amant : « Dieu, Commenge, je meurs ». […] Elle se déclare adultère : Son devoirdans le mariage n'est pas d'être fidèle à son mari, mais de mourir pour son amant. […] Peu sensible à ma mort, je disais seulement : là je ne pourrai plus adorer mon amant. […] Il est vrai qu'elle n'était pas encore professe, comme son amant. […] Il paraîtra sans doute bientôt une troisième héroïde d’Adelaïde à son amant : sujet mieux envisagé que les autres.

/ 218