En effet, ajoute-t-il, lisez et relisez l’Ecriture, vous n’y trouverez point de précepte formel et particulier contre la Comédie». […] La raison qu’il en apporte, ajoute-t-il, est que l’homme fatigué par des actions sérieuses, a besoin d’un agréable repos qu’il ne trouve que dans les jeux...» Et un peu après, il ajoute encore,« ce saint Docteur veut même qu’il y ait quelque péché à ne point prendre de divertissement ». […] Il ajoute même les témoignages des Profanes, qui décrivent et qui blâment les insolences de la Comédie aussi bien que les Pères. […] Il ajoute, qu’il vaudrait bien mieux que ces gens-là n’eussent jamais appris à lire que de faire un tel usage de leur lecture : « Hoc loco dixerim longe melius fuisse nullas litteras nosse quam sic litteras legere.»