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45. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415

Mais comme il ajoute qu’on levait la toile à chacun de ces changemens, il y a bien de l’apparence qu’ils ne se fesaient pas promptement. […] Je ne dois pas oublier d’ajouter un mot des portiques qui étaient derrière les Théâtres, & où le Peuple se retirait lorsque quelque orage en interrompait les Représentations. […] Néron non-seulement les fit teindre en pourpre, mais y ajouta encore des étoiles d’or, au milieu desquelles il était peint monté sur un char ; le tout travaillé à l’aiguille, avec tant d’adresse & d’intelligence, qu’il paraissait comme un Phœbus qui modérant ses rayons dans un jour sérein, ne laissait briller que le jour agréable d’une belle nuit.

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