Sonnet à la Seignore Isabelle, sur son voyage à Monceauxac Sans l’air de vos Zéphyrs, je languis et me pâme, De ce qu’un sort cruel me prive de vos yeux : Isabelle, mon cœur, que ses rais gracieux Avivent le saint feu qui sans cesse m’enflamme.
Sonnet à la Seignore Isabelle, sur son voyage à Monceauxac Sans l’air de vos Zéphyrs, je languis et me pâme, De ce qu’un sort cruel me prive de vos yeux : Isabelle, mon cœur, que ses rais gracieux Avivent le saint feu qui sans cesse m’enflamme.