Levez-vous de bonne heure, allez assister au lever du soleil, en dirigeant votre promenade le long de ces boulevards qui bordent les murs de Paris ; chaque groupe d’hommes que vous verrez sortir des barrières, au nombre de quatre ou de six, redingotes croisées, l’air occupé, marchant deux à deux, et cherchant à éviter tous regards indiscrets, affaires d’honneur ! […] La marche, le grand air, m’avertissent qu’il y avait longtemps que j’avais déjeuné.