Comme il y a èsdites processions des maisons et des lieux dédiés, selon le plaisir et commodité d’un chacun, où il s’en fait aussi lesquels ne seraient mauvais, sinon que plusieurs y vont seulement pour cela, et aiment mieux y avoir perdu la Messe, et tout le service qu’un déjeuner. […] On en voit assez qui aimeront mieux un jour de Dimanche ou autre fête, aller à quelque bon déjeuner, jouer à la paume ou à l’ébat aux champs, qu’être au service et à la Grand-Messe.