Les plaisirs de la danse, plus bruyans qu’agréables, plus dignes de pitié que d’envie, font plutôt le supplice que la joie de ceux qui s’y livrent, les fatiguent plus qu’ils ne divertissent ; c’est la joie d’un frénétique qui attriste le Sage, ou l’amusement d’un enfant qui fait rire.