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263. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Et irait-on jamais les entendre, si l’on n’y recevait pas les émotions agréables que des passions toujours injustes, mais naïvement représentées, produisent en nous ? […] Il débite des paradoxes, et au lieu de faire de la Comédie un divertissement agréable, comme il la toujours considérée, il en fait un exercice de contention, capable de rebuter les esprits les plus fermes et les plus propres à résister à leurs mouvements.

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