ad Mais d’abord, il est certain qu’il ne s’y agit point du carême dont il n’y a pas un mot dans tout cet endroit : mais quand on voudrait, comme il est juste, étendre au carême jusqu’à un certain degré, ce que propose ce saint docteur en général sur l’état des pénitents, il n’y aurait rien qui ne fût contraire à la prétention de notre auteur. […] Mais dans la seconde question où il s’agit en particulier des spectacles, il décide nettement que les pénitents les doivent éviterAd 2. q. eâd.