Voilà des assassinats commis, des avis effrayants reçus : il n’est plus question de pérorer, l’incendie menace Rome, il faut éteindre les flambeaux déjà tournés contre elle pour la réduire en cendres ; il faut donc agir. Cicéron agit en effet en Consul habile, en Ministre prudent, en politique éclairé ; voilà ce que des connaisseurs ont trouvé, ce que des critiques sévères ont applaudi. […] Je vous aurai cependant une obligation de vous être livré à toute votre malignité, c’est qu’elle m’offre l’occasion d’agir d’une façon toute opposée à la vôtre. […] Il s’agit là des deux derniers vers de la pièce.