/ 176
164. (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88

Je réponds à cela : Premièrement, que ceux qui ouvrent leur maison pour en faire des Académies scandaleuses de jeu, sans distinguer les personnes qui y vont : qui souffrent qu’on s’y emporte en jurements et en d’autres excès ; qui sont cause qu’il y en a qui se ruinent en jouant plus gros jeu que leur bien ne peut souffrir ; que ces personnes-là, dis-je, ne sont pas moins blâmables que les Comédiens ; que l’Église à présent comme autrefois déteste ce désordre, et ne juge pas ceux qui y tombent dignes d’approcher des Sacrements, jusqu’à-ce qu’ils aient promis de changer de vie.

/ 176