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89. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

C'est un mince consolateur que ce Père Abbé : « Sa clémence outragée à l'homme t'abandonne. » Je ne sais ce que c'est qu’abandonner à l'homme ; mais je sais que si l'homme est abandonné de Dieu, il est perdu, et ne peut plus rien faire. […] Tartuffe n'a corrigé aucun hypocrite, et a fait craindre et abandonner la vertu à une infinité de gens.

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