J’ouvre le livre de l’univers, & je vois sur ce vaste Théatre le vice & la vertu toujours aux prises ; & en comparant les siécles les plus brillans, j’en vois peu auxquels le nôtre ne paroisse préférable.
J’ouvre le livre de l’univers, & je vois sur ce vaste Théatre le vice & la vertu toujours aux prises ; & en comparant les siécles les plus brillans, j’en vois peu auxquels le nôtre ne paroisse préférable.