Le saint Evêque d’Apamée Thomas étant auprès de Cosroès, Roi de Perse, vainqueur et persécuteur, pour le solliciter en faveur des Chrétiens, voulut bien se trouver avec lui à une course de chevaux : exercice sans doute bien moins dangereux que le théâtre, et dans une occasion unique, où l’Eglise avait intérêt de ménager un Prince impérieux et cruel.