Ce Prince à pris ce goût à Paris, où dans sa jeunesse il a fait quelque séjour. […] Ce Prince n’est pas moins entousiasmé de Moliere. […] qui auroit assez peu de respect pour un si grand Prince, que de le soupçonner de passion & de calomoie ? […] Ce genre d’erreur doit animer tout le zele d’un bon Prince ; il doit punir les scélérats, même de la religion Protestante. […] Mais comment ce Prince, ainsi que nous l’avons vu, blâme-t-il le théatre, & reconnoît-il qu’il est pernicieux pour les mœurs ?