Toutes les comédies ne roulent que sur quelque mariage traversé par les parens contre les passions des enfans, sur des femmes infidèles & de mauvais maris, sur l’indocilité des enfans à subit le joug de l’autorité, rebelles, insolens, roidis contre leurs parens, qui les insultent, les jouent, bravent les disgraces, l’exhérédation, la malédiction des pères, comme l’Avare de Moliere, & enfin l’emportent par une sole passion, à eux-mêmes funeste. […] On ne peut, comme Moliere, mettre sur la scene qu’un mariage forcé, l’épée à la main.