Ce serait un spectacle curieux, et digne du grand Corneille et de l'incomparable Molière, qu'une pièce formée de ces divers morceaux, et une troupe composée de ces Acteurs ; on verrait que les petites maisons et l'Hôtel ont une étroite liaison. […] » Tels ces habitants de la Lune dont parle Cyrano Bergeracaa, qui se nourrissaient de vent ; leurs provisions étaient des ballons remplis d'air, qu'ils suçaient avidement pour faire bonne chère, comme un amateur de Molière, d'Arlequin, de la Clairon ; ou tels ces habitants de l'air que nous appelons des girouettes, qui sont comme la nourriture des vents, sans cesse agités du moindre zéphyr, et tournant de tous côtés au gré de tout vent.