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111. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152

Molière entretenait la Duparc, et ne pouvait vivre avec sa femme. […] Il y a bien peu de pièces où dans le fond, l’intrigue, le dénouement, il n’y ait quelque action méchante, et des paroles lascives et à doublé entente, et souvent obscures et grossières : témoin Scarron, Monfleury, Poisson, Molière, Dancourt, Gherardi, Vadé, et cent autres dont la plupart des pièces en sont semées, et méritent qu’on les chassât.

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