Il y avait un Dieu jésuitique, qui vraisemblablement paya plus que les autres, en après un Jésus-Christ à sa droite environné d’anges avec leurs trompettes sur le plus haut théâtre, qu’ils appelaient paradis. […] [NDE] Ce texte, paru anonymement en 1607 (s.l.), a déclenché une petite polémique, provoquant la réponse d’un jésuite, André de Gaule (c’est probablement un pseudonyme), qui publie à Lyon la même année Conviction Véritable du récit fabuleux, divulgué touchant la Représentation exhibée en face de toute la ville de Lyon, au Collège de la Compagnie de Jésus, le 7. d’août, de la présente année 1607.