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105. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185

Il en résulte que les acteurs de comédie étant protégés, salariés, pensionnés et honorés par les souverains et par les papes, aucun prêtre en France, n’a le droit de son autorité privée, d’anathématiser et d’excommunier la profession de comédien, qui a été créée et autorisée par les diplômes du prince, par la législation du pays ; et par conséquent, c’est un véritable délit d’en exiger l’abjuration. […] Oubliera-t-on que les jésuites, qui proscrivaient alors les Bourbons et appelaient en France l’étranger, étaient les provocateurs et les soutiens les plus zélés de la ligue ?

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