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79. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201

Les instruments de musique servaient à chanter les louanges de Dieu, et non celles des idoles. […] Dieu ne mène à la félicité que par le travail de la vertu : le démon mène à la réprobation par le chemin du vice. […] C’est renoncer à Dieu que de s’y livrer, « Deum negat ». […] quelle espérance pouvons-nous avoir dans les bontés de Dieu, tandis que nous l’insultons de concert ? […] » C’est faire à Dieu une très grande injure.

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