Quoi donc n’y a-t-il plus de Dieu en Israël, qu’il faille avoir recours à Belzébuth et le consulter ? […] Y considère-t-on jamais les crimes par opposition à la loi éternelle et à la sainteté de Dieu qui rend ceux qui les commettent dignes des flammes de l’enfer. […] Dieu était-il obligé pour cela de changer sa loi immuable, et de s’accommoder à l’avarice, ou à la bizarrerie des hommes. […] Or qui a jamais cru faire une action agréable à Dieu en assistant à la comédie ? […] Dieu ne manquera pas de répandre cette joie toute spirituelle en vos cœurs, si vous lui faites un généreux sacrifice des autres.