… Je vois un Hercule, un fils de Jupiter, plus grand que ce Dieu lui-même, embrasé d’un feu cruel qu’il a cru légitime, sensible encore à l’amitié, se vaincre pour elle, triompher de l’Amour, comme il avait triomphé de la mort, et rendre croyables, par cet effort, tous les prodiges que la Fable attribue à ses forces plus qu’humaines.