Quelle injure à Dieu de disputer, de chicaner avec lui, en se permettant des actions qui peuvent quelquefois lui déplaire ! […] Rendons à César ce qui est à César, & à Dieu ce qui est à Dieu. […] Mais les exemples les plus illustres nous sauveront-ils devant Dieu ? […] Mais est ce donc là l’unique désordre que Dieu condamne, & l’unique péril que redoute la vertu ? […] Aussi est elle sous la protection d’Appollon, qui n’est pas moins le Dieu de la médecine que le Dieu de la poësie.