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156. (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  RACINE. A Mlle. Le Couvreur. » pp. 77-80

Un Dieu, c’étoit l’amour : ne vous étonnez pas Qu’aux antres de la mort il ait porté ses pas ; Il perce à votre nom, les plus sombres retraites. […]  Ce Dieu découvre à nos regards Un portrait que lui-même avoit pris soin de faire. […] Mais alors de ce Dieu l’étonnante magie Sur ce brillant tableau répand des traits de vie.

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