Un Dieu, c’étoit l’amour : ne vous étonnez pas Qu’aux antres de la mort il ait porté ses pas ; Il perce à votre nom, les plus sombres retraites. […] Ce Dieu découvre à nos regards Un portrait que lui-même avoit pris soin de faire. […] Mais alors de ce Dieu l’étonnante magie Sur ce brillant tableau répand des traits de vie.