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155. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

ce qui signifie assez que Dieu voit l’iniquité, mais qu’il ne la reprochera pas. […] Ce Diable vient à éternuer, sur quoi on lui dit : Que Dieu le contente ! […] Il va d’un crime à un autre ; de la censure des ouvrages de Dieu à la profanation de sa sainte parole. […] « Mais y a-t-il un Dieu ? […] ne nous y trompons pas, on ne se moque point de Dieu.

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