« Ô abîme des richesses de la sagesse, et de la science de Dieu ! […] Il rendait grâces à Dieu des lumières qu’il lui en avait données. […] ; et rendit son âme à Dieu si doucement qu’à peine put-on s’en apercevoir. […] , « Qu’ils ont connu Dieu, mais qu’ils ne l’ont pas glorifié comme Dieu ». […] N’ont-ils pas effacé en eux-mêmes l’image de Dieu ?