Rien ne semble Dieu. […] Dieu n’y appelle pas, il y a un vrai danger ; Dieu n’y a pas promis la grace ; qui aime le péril, y périra. […] C’est-à-dire qu’on donne à Dieu les misérables restes d’une vie devenue à charge. […] Le bon Curé permet ces vœux, ce n’est qu’à Dieu qu’on ne peut consacrer sa vie, ce n’est que Dieu dont on ne peut sans témérité être toute remplie. […] Il n’y a que ceux qu’on porte pour Dieu, qui soient insupportables.