On donne à des Chrétiens qui paroissent sur la Scéne, les mêmes habillemens qui servoient autrefois aux Idolâtres : Corneille ne parle pas sur un autre ton que les Auteurs Grecs & Latins, il ne donne aucun signe qu’il ait une religion plus épurée. […] Le tableau que Corneille en a tracé est moins propre à décrier le vice, qu’à le rendre aimable.