Corneille prédisoit que l’instruction théatrale seroit salutaire. […] Corneille l’est quelquefois, Racine peu, Moliere jamais. […] En 1767 elle proposa pour sujet de son prix l’Eloge de Corneille. […] Aucun génie n’a plus élevé les ames que Corneille. […] Que restera-t-il donc à Moliere, qui dans son genre vaut bien Corneille ?