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162. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202

Orner le poignard dont on égorge la victime, faire boire son sang dans une coupe dorée, mettre sous les yeux les chefs-d’œuvres de barbarie si vantés de Corneille, de Crébillon, ce n’est qu’en émousser les répugnances, étouffer les remords du crime, & répandre l’esprit de cruauté. […] Lulli, Rameau, Pécour, Vestris n’étoient point poëtes, Corneille, Quinault, Moliere  n’étoient point danseurs ni musiciens.

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