Il n'est aucun de ces vices, si rigoureusement condamnés dans l'Evangile, et si contraires aux bonnes mœurs, que le théâtre ne loue, n'enseigne, n'inspire. […] Quel évangile serait-ce, qu'un recueil de tous les préceptes qu'on débite sur la scène, de toutes les maximes qu'on y enseigne, de tous les sentiments qu'on y étale, de tous les exemples qu'on y donne ?