En effet, la religion catholique n’aurait aucune influence dans l’Etat, si le prince, qui a établi la loi constitutionnelle, ne lui avait assigné et conféré la prééminence sur les autres religions. […] C’est donc aux autorités qui existent dans l’Etat à ne jamais permettre au Clergé de se soustraire aux droits de la puissance établie par Dieu même, pour protéger et gouverner les peuples.