C’est un tissu d’éloges, la plupart outrés, qui ne finissent point. […] C’est un amas de termes de peinture où l’on a cousu de mauvaises rimes, & mêlé une foule de plats éloges du Roi, de la Reine, des Ministres, du Peintre. […] Ne dit-on pas tous les jours, croyant faire leur éloge, la volupté naît sous leurs pas, c’est-à-dire, le crime ? […] Cette critique est un éloge. […] Est-ce-là un bel éloge du père du Théatre ?