Avant la représentation de ces jeux, un de ses Officiers ayant fait l’éloge de la magnificence des jeux de Carin, en lui donnant à entendre que ces sortes de divertissements faisaient aimer les Princes, il lui répondit que Carin avait donc bien aprêté à rire par cette manière de gouverner. « Ergo, inquit, bene risus est imperio suo Carinus. […] Eloge des Evêques p. 545.