Grégoire de Nazianze, tous les peres, tous les conciles, toute l’église lui donnent depuis 1500 ans. […] Il se donnoit à lui-même les plus grandes louanges, tandis qu’il déchiroit les docteurs de l’Eglise. Il changea une partie de l’office divin ; & au lieu des hymnes qu’on chantoit auparavant, il faisoit chanter des vers à sa louange, par des femmes, au milieu de l’église, les plus grandes fêtes. Voilà ce qu’un grand concile dit de lui à toute l’Eglise. […] Faut-il examiner après la sainte Eglise ?