Nous exhortons tous les Recteurs et Supérieurs des Collèges de notre Diocèse qui y feront représenter des Tragédies, d’y mettre toute la différence qu’ils pourront d’avec celles qui se représentent par des Comédiens sur les Théâtres, et pour lesquelles l’Eglise a toujours témoigné tant d’horreur. […] Nous n’empêchons pas non plus que l’on ne puisse mettre dans les entr’actes de ces Tragédies une Symphonie honnête et modeste : mais nous ne voulons pas que l’on y emploie des personnes consacrées à Dieu ou par l’Etat Ecclésiastique qu’ils ont embrassé, ou par les fonctions Ecclésiastiques qu’ils exercent dans des Eglises particulières où on les voit revêtus de Surplis. […] Ce sont les règles de l’Evangile et les Saints Canons que l’Eglise nous a donnés, qu’il faut écouter et qu’il faut suivre.