Germain de l’Auxerrois (Curé de la Cour) homme pieux et sévère, lui écrivit qu’elle ne pouvait en conscience souffrir la comédie, surtout l’Italienne, comme plus libre et moins modeste. […] Caffaro, Théatin, pour avoir osé écrire en faveur de la comédie, et l’a fait authentiquement rétracter (ce fait reviendra ailleurs fort au long).