ae , on en trouve un de saint Césaire Archevêque d’Arles, où il répète trois et quatre fois, que celui « qui chasse pendant le carême : horum quadraginta dierum curriculo : ne jeûne pas encore, poursuit-il, qu’il pousse son jeûne jusqu’au soir », selon la coutume constante de ce temps-là : « il pouvait bien avoir mangé plus tard ; mais cependant il n’aura point jeûné au Seigneur : potes videri tardius te refecisse, non tamen Domino jejunasse » : ce saint écrivait à la fin du sixième siècle.