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82. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

la Comédie, écrit-il, est une école & un exercice de vices. […] depuis quand regarde-t-on, comme des Comédies épurées, des piéces lubriques, une vive école des passions, & des maximes, qui feroient honneur dans le langage ordinaire ? […] Je pris la liberté de finir, par la question suivante… Depuis quand a-t-on le talent de former la jeunesse à l’école de l’impureté, & où tout conspire à faire rougir la pudeur ? […] « On vient, dit-il, de jouer Polieucte, le Théatre change ; on joue l’école des Maris : en est-ce une d’amour conjugal ? […] Illicites & criminels, parcequ’ils sont la source de toute sorte de péchés, & une vive école des passions.

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